L'Université du Canada ouvre tous ses matériaux et développements et refuse les brevets pour la science
Photo: Source de la photo: helmholtz.de Ledomaine scientifique n'est désormais pas moins réglementé par diverses réglementations, dispositions, lois sur les brevets et autres éléments bureaucratiques que la technologie. Cela est particulièrement vrai pour la médecine. En conséquence, la mise en œuvre de nombreux développements prend beaucoup de temps. Cet état de fait ne convient pas à tout le monde, mais peu de gens s'engagent à changer quelque chose.L'Institut neurologique de Montréal (Canada) a décidé de devenir le premier en modifiant radicalement les principes de son travail. La direction de l'organisation a décidé d'ouvrir l'accès à toutes ses recherches et de refuser les brevets, les rapportsScience. La décision de l’administration a déjà commencé à être mise en pratique. Ainsi, cette année, les employés de l'institut publieront toutes leurs publications dans le domaine public. De plus, les développements ne seront pas protégés par des brevets.Si les employés de l'université travaillent avec des collègues d'autres organismes de recherche, ils devraient faire de même, c'est-à-dire ne pas breveter les développements communs et publier des articles dans le domaine public.Selon la direction de l'université, cette décision est la première au monde, d'autres organisations scientifiques n'ont jamais fait une telle chose. Le directeur de l'organisation est certain que si vous offrez un accès universel aux réalisations des institutions médicales, les nouvelles découvertes deviendront monnaie courante. Et la réalisation des découvertes sera un processus beaucoup plus rapide et plus efficace que maintenant.La décision a été prise sans hâte - la discussion a duré environ un an. 600 employés universitaires ont accepté d'essayer un nouveau modèle de travail. Les unités de recherche de l’organisation devraient désormais fournir des plans clairs pour la mise en œuvre du projet de transparence des données. De plus, un système de suivi de tous ces travaux sera mis en place.Si on le souhaite, les scientifiques pourront défendre leurs découvertes par des brevets, mais l'institut ne participera pas à ce processus. Selon la direction, l'institut est engagé dans la recherche fondamentale et n'a pas besoin de brevets. «Nous travaillons pour faire de la science, pas pour gagner de l'argent», explique le directeur de l'institution, Guy Rulo.Source: https://habr.com/ru/post/fr389589/
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