Une équipe de chercheurs de Stanford et de l'Université de New York a publié une nouvelle étude sur l'effet de Facebook sur notre humeur, notre attention et nos relations.
La particularité est qu'il s'agit de l'étude la plus impressionnante et la plus approfondie (n = 3000, chekins tous les jours pendant un mois, etc.) sur l'impact des médias sociaux sur les gens aujourd'hui. Le groupe témoin a utilisé FB quotidiennement, tandis que le groupe expérimental l'a refusé pendant un mois.
Résultats : Le fait de ne pas utiliser Facebook entraîne des difficultés dans les relations avec les proches, crée des problèmes de planification du temps et complique l'articulation des opinions politiques.
Je plaisante. Bien sûr, les gens sans Facebook ont plus de temps (≈ 1 heure par jour), ils accordent plus d'attention aux amis et aux proches, ils ont des opinions politiques moins radicales.
Dans le processus, il s'est avéré que les gens estiment en moyenne le rejet de FB pour un mois à 100-200 $ (je vous rappelle qu'ils le veulent pour +30 heures à vie).
Peut-être la découverte la plus importante: la désactivation des médias sociaux améliore définitivement l'humeur et le plaisir de vivre. Pas beaucoup, mais statistiquement significatif.
Les chercheurs de Stanford n'ont pas encore tiré de conclusions officielles et attendent des études par les pairs. Cependant, il est clair que le FB en tant que plate-forme est de plus en plus pressé de faire quelque chose avec la soi-disant «hygiène de l'attention».