La sauvegarde de machines virtuelles est l'un des domaines auxquels il convient d'accorder une attention particulière lors de l'optimisation des dépenses de l'entreprise. Nous vous expliquons comment configurer des sauvegardes dans le cloud et économiser votre budget.
Les bases de données sont un atout précieux pour toute entreprise. À bien des égards, les machines virtuelles sont devenues très demandées. Les utilisateurs peuvent travailler dans un environnement virtuel qui offre une protection contre la corruption des données physiques et la fuite d'informations confidentielles.
La plupart des grandes et moyennes entreprises dépendent d'une manière ou d'une autre de la machine virtuelle. Ils stockent une énorme quantité d'informations critiques. Par conséquent, il est si important de prendre soin de créer des sauvegardes afin qu'un jour il n'y ait plus de «oops» et que pendant des années, la base de données réapprovisionnée ne soit pas soudainement endommagée ou inaccessible.
En règle générale, les entreprises sauvegardent leurs machines virtuelles et les stockent dans des centres de données distincts. Et si soudain le centre de traitement de données principal tombe en panne, il sera possible de récupérer rapidement à partir de la sauvegarde. Idéalement, lorsque la sauvegarde est stockée dans différents centres de données, comme le fait
Cloud4Y . Cependant, la plupart des fournisseurs ne peuvent pas offrir un tel service ou demander de l'argent supplémentaire. En conséquence, le stockage des sauvegardes se traduit par un sou aussi bon marché.
Cependant, l'utilisation judicieuse des capacités du cloud peut réduire la charge financière.
Pourquoi exactement le cloud?
Les sauvegardes de VM sont stockées de manière pratique sur des plateformes cloud. Il existe de nombreuses solutions sur le marché qui simplifient le processus de sauvegarde et de restauration des machines virtuelles. Avec leur aide, vous pouvez organiser la récupération de données ininterrompue à partir de machines virtuelles et fournir un service stable pour les applications qui dépendent de ces données.
Le processus de sauvegarde peut être automatisé en fonction des fichiers et de la fréquence dont vous avez besoin pour enregistrer les données. Le "cloud" n'a pas de cadre rigide. L'entreprise peut choisir les fonctionnalités et les performances qui correspondent à ses besoins commerciaux et ne payer que pour les ressources consommées.
L'infrastructure locale n'a pas une telle opportunité. Vous devez payer immédiatement pour tout l'équipement (même inactif), et si vous avez besoin d'augmenter la productivité, vous devez acheter plus de serveurs, ce qui entraîne des coûts plus élevés. Cloud4Y propose 4 façons de réduire les coûts de sauvegarde de la base de données.
Alors, comment économiser?
Copie incrémentielleL'entreprise doit régulièrement sauvegarder les données critiques. Mais ces données augmentent avec le temps. Par conséquent, chaque sauvegarde ultérieure prend plus d'espace et nécessite plus de temps pour se charger dans le référentiel. Vous pouvez simplifier la procédure en stockant des sauvegardes incrémentielles.
L'approche incrémentielle suppose que vous ne sauvegardez qu'une seule fois ou à certains intervalles (selon la stratégie de sauvegarde). Chaque sauvegarde ultérieure contient uniquement les modifications apportées à la sauvegarde d'origine. Étant donné que les sauvegardes sont moins courantes et que seules les nouvelles modifications sont sauvegardées, les organisations n'ont pas à payer pour le transfert de données cloud volumineuses.
Limiter les fichiers ou sections d'échangeParfois, la RAM d'une machine virtuelle peut ne pas être suffisante pour stocker des applications et des données de système d'exploitation. Dans ce cas, le système d'exploitation occupe une partie du disque dur pour stocker des données supplémentaires. Ces données sont appelées respectivement le fichier d'échange ou la partition d'échange sur Windows et Linux.
En règle générale, les fichiers d'échange sont 1,5 fois plus volumineux que la RAM. Les données de ces fichiers changent régulièrement. Et chaque fois qu'une sauvegarde est effectuée, ces fichiers sont également sauvegardés. Il serait donc préférable d'exclure ces fichiers de la sauvegarde. Ils prendront trop de place dans le cloud, car le système les enregistrera à chaque sauvegarde (les fichiers changent constamment!).
En règle générale, l'essentiel est de sauvegarder uniquement les données dont l'entreprise a réellement besoin. Et les fichiers inutiles, comme un fichier d'échange, ne doivent pas être sauvegardés.
Duplication et archivage de sauvegardeLes sauvegardes de machines virtuelles pèsent beaucoup, vous devez donc réserver plus d'espace dans le "cloud". Par conséquent, vous pouvez économiser en réduisant le volume des sauvegardes. Et ici, la déduplication peut aider. Il s'agit du processus de copie des blocs de données modifiés uniquement et de remplacement des copies des blocs inchangés par leur remplacement par un lien vers les blocs d'origine. Vous pouvez également utiliser toutes sortes d'archiveurs pour compresser la sauvegarde finale afin d'économiser encore plus de mémoire.
Cette rubrique est particulièrement pertinente si vous suivez la règle «3-2-1» concernant le stockage des sauvegardes. La règle stipule que pour assurer un stockage fiable des données, vous devez avoir au moins TROIS sauvegardes stockées dans DEUX formats de stockage différents, tandis qu'une des copies doit être stockée en dehors du stockage principal.
Ce principe de tolérance aux pannes suppose un stockage redondant des données, de sorte qu'une diminution du volume de sauvegarde sera clairement hors de propos.
Politique de stockage GFS (grand-père-père-fils)Comment la procédure de création et de stockage des sauvegardes est-elle organisée dans la plupart des entreprises? Mais pas question! Les organisations sauvegardent et ... oublient. Pendant des mois, voire des années. Cela entraîne des coûts de données inutiles qui ne sont jamais utilisés. La meilleure façon de gérer cela est d'utiliser des stratégies de rétention. Ces politiques déterminent le nombre de sauvegardes pouvant être stockées dans le cloud à la fois.
La politique de stockage de sauvegarde la plus simple est expliquée par le principe du «premier arrivé, premier parti». Avec cette politique, un certain nombre de sauvegardes sont enregistrées, et après avoir atteint la limite, la plus ancienne est supprimée pour faire de la place pour la plus récente. Mais cette stratégie n'est pas entièrement efficace, surtout si vous devez garantir le maximum de points de récupération dans le plus petit volume de stockage possible. En outre, il existe des réglementations législatives et d'entreprise exigeant un stockage de données à long terme.
Ce problème peut être résolu à l'aide de la stratégie GFS (Grandfather-Father-Son). «Son» est la sauvegarde la plus fréquente. Par exemple, quotidiennement. Et «grand-père» est le plus rare, par exemple, tous les mois. Et chaque fois qu'une nouvelle sauvegarde quotidienne est créée, elle devient le fils d'une sauvegarde hebdomadaire la semaine précédente. Ce modèle donne à l'entreprise plus de points de récupération avec le même espace de stockage limité.
Si vous avez besoin de stocker des informations pendant une longue période, il y en a beaucoup, mais elles ne sont jamais réellement demandées, vous pouvez utiliser le stockage dit froid. Le coût de stockage des données est faible, mais si l'entreprise demande ces données, vous devrez payer. C’est comme un placard sombre et éloigné. Il y a beaucoup de choses qui ne seront plus rien dans 10-20-50 ans. Mais jusqu'à ce que vous en arriviez à un, vous passerez beaucoup de temps. Dans Cloud4Y, un tel stockage était appelé "
Archive ".
Conclusion
La sauvegarde est un élément essentiel de sécurité pour toute entreprise. Garder des sauvegardes dans le cloud est très pratique, mais parfois le service coûte cher. En utilisant les méthodes que nous vous proposons, vous pouvez réduire les dépenses mensuelles de l'entreprise.
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